le décryptage biologique

  Le décryptage Biologique 


Le décryptage biologique est une :
  • Articulation Logique entre le symptôme (ou la maladie) et un ressenti.
  • Articulation Bio-logiquecar pour un même ressenti ce sera toujours le même symptôme, le même organe qui sera concerné que nous soyons humains ou une autre espèce animale. En fonction, du ressenti, l’organisme va exalter la fonction de l’organe correspondant. 
  • La maladie devient donc une réponse appropriée de l'organisme pour s'adapter à un sur stress, un choc externe. Elle s'inscrit dans le cadre de la survie de l'espèce. Elle est donc un programme biologique de survie commun à tous les organismes vivants. On appelle cela un invariant biologique. 
Selon Hamer, ce programme biologique se serait engrammé tout au long de l'évolution et se serait mis en route en dehors de toute intervention de la conscience.
Par exemple, l'un des tous premiers programmes de survie est la prolifération cellulaire que l'on retrouve pour les bactéries.

Il aura fallu 30 années de recherches au Dr Hamer pour élaborer ce système de croyances permettant de pouvoir mieux comprendre l'apparition d'une pathologie ou d'un comportement.
Ryke Geerd Hamer était un médecin allemand né en 1937 et mort en 2017.
En 1978, suite à la perte brutale de son fils, il déclara un cancer du testicule et sa femme un cancer des ovaires.


Cet évènement et la déclaration concomitante de leur maladie fût le déclenchement d'une longue période de recherche pour ce médecin en quête de compréhension.
Il exerça par la suite dans différents services où il mena de nombreux interrogatoires pour façonner un système rationnel de cause à effet entre les liens psycho-émotionnel, la perception de l'environnement, l’inconscient et la maladie.
Ses travaux sont basés sur la phylogenèse, l'embryologie, l'ontologie, et l’étiologie animal et l’observation para-clinique.
Les maladies ne sont donc plus liées au hasard ou au « pas de bol » mais répondent à un besoin inconscient. Il n'y a plus de fatalité !


Théorie :
Selon Dr Hamer chaque maladie suit la même logique, le même cheminement.

Toute maladie commence par un Dirk Hamer Syndrome ou DHS

DHS :
C'est un choc extrêmement brutal violent, un conflit aigu, dramatique qui prend l'individu à contrepied. Ce choc est vécu dans l'isolement et est perçu par le patient comme le plus grave qu'il n'ait jamais connu. Il ne peut ni attaquer ni fuir : on parle d'inhibition de l’action. La personne est foudroyée.

Au moment du choc (du DHS), le ressenti :
  1. Est enregistré par l’inconscient. 
Par la suite, l’inconscient reconnaîtra des détails de cette image qui le ramèneront dans le DHS et cela même des années après, c’est le rail de conflit.
  1. Détermine la localisation dans l'organe et le programme archaïque de survie mis en place.

  1. Le rail de conflit :
Après le DHS, la maladie se met à rouler sur un rail de conflit.
Le rail de conflit est un élément de l’arrêt sur image du DHS.

Ex :
L’allergie est une maladie qui suit un rail de conflit.
Si, lors d’un DHS, un chat était présent pendant l’arrêt sur image pris par votre inconscient, alors, le chat réactivera le conflit vécu lors du DHS.
Ce pourquoi, vous développerez des symptômes associés au ressenti vécu lors du choc par la simple présence du chat.

  1. Les programmes archaïques de survie :
Le programme archaïque de survie est une réponse inhérente à tous les êtres vivants en fonction de son histoire de vie, son rang dans la fratrie, sa latéralité, sa culture, etc…que le cerveau va mettre en place pour répondre au DHS.



Ex :
Le camouflage : disparaître dans l’environnement.
L'anorexie
Sens biologique : enlever toutes les formes possibles pour passer inaperçue.

Flairer : pressentir le danger. 
Ulcération de la muqueuse nasale 
Sens biologique : mieux capter les odeurs. Le nez est sec.
En résolution, le nez coule, c’est le rhume.

Devoir faire vite : thyroïde. 
augmentation de la masse de la thyroïde pour faire plus de THS


Donc, selon Hamer, ce que l’individu vit au moment précis du DHS est de toute première importance.
Le ressenti est modulé par plusieurs filtres : nos sens, nos croyances, notre culture, notre grille de conception familiale, notre sexe et notre latéralité ou encore notre âge, etc…

Ex :
Un homme surprend sa femme en plein délit d'adultère :


Le cerveau va alors tout enregistrer de manière inconsciente : la position sur place, la lumière, la musique, les odeurs, l'heure, les éléments présents dans la pièce, etc...
A ce moment précis, les manières de vivre cet évènement peuvent être multiples :
Cela peut être perçu comme :


  1. Une perte de territoire : 
Ressenti : « je vais perdre ma femme. »
Organe touché : artères coronaires
  1. De la rancœur :
Ressenti : « ce n’est pas juste, c'est la troisième fois ! »
Organe touché : vésicule biliaire.
  1. Un conflit de manque :
Ressenti : « je vais devoir vendre la maison, je vais plus voir mes enfants tous les jours. » 
Organe touché : le foie.
  1. Une dévalorisation : « je ne vaux rien au lit, en plus elle fait un truc qu'elle ne m'a jamais fait ! » 
Organe touché : sacro-iliaques L5 et S1et parfois les hanches.



Le conflit n'est pas systématique. Il faut être confronté à une situation inattendue, déconcertante, contraignante.

S’il n'y a pas de conflit alors enfin j'ai l'excuse pour me casser !
Vous l’aurez compris, ce n’est pas tant l’évènement que la manière dont l’évènement a été vécu qui est déterminant lors du DHS.

Pour Hamer, la maladie n'est autre qu'un mode turbo afin de pouvoir trouver une solution à un sur-stress.

Au moment du DHS, le patient rentre dans une réalité imaginale inconsciente : c'est un mode de protection sur des peurs trop grandes. On passe d'une réalité consciente à une réalité imaginale. L'inconscient permet de bloquer à l'esprit un ressenti un évènement désagréable. Il contribue à protéger l'être humain. Si la peur est insurmontable, la conscience passe de la réalité consciente à une réalité imaginale. Autrement dit, même si l’on sait que l’on vit un DHS, on ne sait pas forcément comment l’inconscient le vit.

Loi d'évolution biphasique de la maladie
« Toute pathologie est caractérisée par une évolution biphasique à condition que le conflit ait une solution ».
Une fois le DHS passé, la maladie va se comporter en 2 phases :

  • Phase 1, ou phase active :
Dès l’apparition du DHS, l’organisme passe en mode Turbo ou « survie ». L’organisme va alors s’adapter par des modifications physiologiques pour trouver la solution la plus rapide possible au conflit, au sur-stress. Cette phase est caractérisée par une absence de symptômes bruyants, mais l’organisme, à ce moment, connait une augmentation du rythme cardiaque, de l’hypertension, des insomnies, de la rumination, un amaigrissement…

  • Ensuite il y a une résolution du conflit soit parce que le conflit est dépassé par une action dans le réel (ex : mon boulot m’insupporte, je démissionne), soit lorsqu’il disparait par lui-même (ex : passage en retraite) soit par ma modification de ma perception du conflit (ex : finalement c’est juste temporaire et alimentaire).

  • Phase 2, ou phase de résolution : 
Une fois le conflit résolu, les symptômes apparaissent : c’est lorsque l’on va mieux que l’on tombe malade !!!!Cette phase se caractérise :
  • par une grande fatigue (soit une mise au repos de l’organisme), 
  • par un afflux de sang dans les tissus à réparer (soit une inflammation), 
  • par une évacuation des cellules créées lors de la phase active (soit une infection)

Lors de la phase 2, appelée aussi PCL ou post conflictolyse, il se produit un pic symptomatique court et brutal caractérisé par une augmentation de tous les symptômes physiques et psychiques, cette phase est nommée crise épileptoïde.


Hamer classe les tissus en 4 groupes suivant leur origine embryologique :
  • Selon lui, les 2 premiers vont augmenter de volume, c’est-à-dire fabriquer plus de cellules en phase active puis nécroser en résolution.

  • Les 2 autres types de tissus vont d’abord nécroser et donc perdre leur fonction en phase active puis revenir à la normale en PCL.

Enfin, dans la thèse d’Hamer, les microbes vont accompagner la phase de résolution. C’est-à-dire que les champignons et myco bactéries aident à évacuer les cellules qui n’ont plus d’utilité. D’autres bactéries et les virus réparent les structurent endommagées ou rendent la fonction perdue de l’organe.










Conclusion :
« Toute maladie doit se comprendre comme étant une partie d'un programme spécial de survie, soit un gain de temps, plein de sens, et mis en place par la nature tout au long de l'Evolution ».
La Lecture biologique ouvre une nouvelle compréhension de la maladie et du monde du vivant. Ceci nous amène à rechercher le sens biologique des symptômes inhérents à chaque maladie.
La maladie sera donc divisée en deux phases, avec pour chacune des programmes spécifiques, tissu par tissu.
Pour déterminer le ressenti inconscient du DHS, il est important de comprendre la fonction de l’organe. Il suffit donc de déterminer quel avantage momentané en terme de survie, le fonctionnement de la pathologie apporte à l'organisme.



Enfin, la prise de conscience du fonctionnement de ces programmes biologiques en rapport avec la maladie est un élément important pour la guérison. La pathologie, vue par la le décryptage biologique n’est plus vécue comme une malédiction fataliste. Et chacun peut reprendre le contrôle des peurs liées à cette dernière !

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